Le matin, à sept heures, comme de coutume, Angélique était au travail ; et les jours se suivirent, et chaque matin elle se remit, très calme, à la chasuble quittée la veille. Rien ne semblait changé, elle tenait strictement sa parole, se cloîtrait, sans chercher à revoir Félicien. Cela même ne paraissait pas l’assombrir, elle gardait son gai visage de jeunesse, souriant à Hubertine, lorsqu’elle la surprenait, éton