Jusqu’en 1851, il écrit fragments, essais, pièces, romans, sans les publier, trouvant sa formule esthétique imprécise, son art imparfait. Mais il les lit à ses amis, et quoique bataillant, il en accepte souvent les opinions et les conseils. C’est ainsi que Le Poittevin, écrivain de grande probité, était le critique le plus inflexible. Scrupuleux, ayant sur l’impersonnalité dans l’art des idées intransigeantes, pessimiste, il pénètre Flaubert de ses théories